Lorsque l’électro-pop ou la pop imprégnée de dance n’était qu’un genre secondaire regardé avec méfiance voire mépris, Saint Etienne creusait ce sillon pour créer quelques brèches atypiques qui en fin de siècle deviendront la norme. En une poignée d’albums impeccables bien que rarement reconnus à leur juste valeur, les Anglais attaquaient sans complexe la pop à coup de boîte à rythmes et de synthétiseurs. Et si Saint Etienne connu une période creuse, ils se reprirent parfaitement avec leur album « Finisterre ». |