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Soft rock
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Producteur
: Non disponible |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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Avant de devenir une mélodiste incroyablement clairvoyante, Justine Electra a longtemps été DJ (à Berlin notamment). C’est peut-être pour cela qu’elle possède un sens inné pour la rythmique, pour mettre des beats rêveurs et diffus là où l’on ne les attend pas, et qu’ils prennent leur place avec évidence (« Blues + reds »). Avec ce croisement bancal entre folk, électro-folk et RnB, avec ces ballades loin des chapelles de genre, avec son songwriting teinté d'électronique et d'électricité et ses chansons aériennes et délicates, parfois hypnotiques (« Autumn leaves »), Justine Electra nous convainc de son importance. Nous tombons sous son charme tout en sensualité, sous l'adorable douceur sucrée de ses titres crépusculaires et brillants (« Killalady »). Il n’y a pourtant rien de facile dans « Soft rock » où tout est question de subtilité et de dosage entre les différents matériaux. Et puis sur « Soft rock », il y a une simplicité, une fausse naïveté précieuse (« Railroad baby ») qui fait de Justine Electra une fille généreuse qu’on a envie de connaître à défaut d’autres choses. En conclusion, on pourra écrire que « Soft rock » est tout simplement un excellent premier album. |
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Extrait de l'album |
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