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Drowning in a sea of love
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Producteur
: Non disponible |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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Nathan Fake est un bidouilleur dont on parle beaucoup mais, il faut bien le reconnaître, que nous avons peu écouté. « Drowning in a sea of love » est l'occasion de combler notre retard. Et si cet album est indéniablement une réussite, si certains, dans les presses officielles de tous les pays, parlent de génie à son propos, il laisse tout de même un arrière goût amer à nos oreilles jamais frileuses quand il s’agit d’électronique. Comme si malgré tout son talent, malgré ses idées qui s’écoulent à profusion, Nathan Fake n'allait pas au bout des choses, ne parvenait pas à être sur la longueur d’un album aussi régulier que sur une succession de singles fondamentaux. Son électronique house, instrumentale, synthétique, limite progressive est d’une grande intelligence avec ses architectures subtiles, ses mises en scène pointues et tatillonnes. Mais il lui manque parfois un peu d’émotion, d’instincts (un instinct que l’on retrouve souvent avec ses singles comme « The sky was pink ») pour faire de « Drowning in a sea of love » un disque plein, une œuvre en forme de panthéon de house modernisée. Au final, ce disque très bon, nous déçoit un peu car nous espérions un réel chef d’œuvre. |
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Extrait de l'album |
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