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Goodbye swingtime
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Producteur
: Non disponible |
Distribution
: Accidental |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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C’est dans la formule du big band que Matthew Herbert va construire l’électro-jazz séditieuse du Matthew Herbert big band. Lui, l’auteur protéiforme, capable autant de quantité que de qualité, fait avec « Goodbye swingtime » une incursion dans un monde qui lui était, en tant que créateur, étranger, il y a peu. En effet, on connaissait plutôt le coté expérimentateur (sur disque et sur scène), déconstructeur de sons, et bruitiste de Matthew Herbert, son coté artiste politisé. Avec ce disque, l’engagement, la subversion se fait de façon plus subtile. Au travers des textes de Noam Chomsky par exemple, dans sa façon non pas d’utiliser le jazz (des samples) pour faire de l’électro mais de mettre son électronique au service du jazz. Même la structure du bing band est vue par Matthew Herbert comme une structure collective d’aide mutuelle et efficace. Le pense-t-il vraiment ou se dessine-t-il une image de bidouilleur en marge, d’artiste véritable ? On n’en sait fichtre rien mais en tout cas, tant son discours, sa vision que son électro-jazz nous séduise et nous transforme le temps de « Goodbye swingtime » en intellectuel de gauche d’avant-guerre. |
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Extrait de l'album |
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