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Love travels at illegal speed
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Producteur
: Non disponible |
Distribution
: Parlophone |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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Les disques de Graham Coxon (ex, futur, futur-ex guitariste de Blur) nous ont toujours laissé plus ou moins de marbre. Avec Graham Coxon, on est loin, très loin, de la grandeur euphorisante, à mille lieux des feux d’artifice jouissifs de Damon Albarn avec ses Gorillaz. Les disques de Graham Coxon sont trop des albums de premier de la classe, et lui un élève appliqué et travailleur mais sans aucune fantaisie pour nous fasciner, sans aucune imagination littéraire. Il n'y avait aucune raison pour que cela change avec « Love travels at illegal speeds » et d'ailleurs cela ne change pas. Dès l’introductif « Standing on my own again », il est facile de s’en rendre compte. Disque banal et limite rock FM, « Love travels at illegal speeds » n'a rien de dangereux contrairement à ce que pourrait le laisser penser son titre. Il est même un album plutôt anodin, officiellement sans intérêt, le genre de petit caprice inutile que peut s’offrir une star anglaise comme Graham Coxon alors que d’autres guitaristes de groupes moins connus n’auraient même pas osé espérer se le payer. |
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Extrait de l'album |
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