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Ok cowboy
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Producteur
: Non disponible |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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On a connu Vitalic comme DJ techno effroyablement efficace.DJ pour lequel les night-clubers avertis sont capables de faire des centaines de Km pour un set de deux heures. On a connu Vitalic comme producteur de maxis percutants dont l’énorme « La rock 01 ». On le rencontre aujourd’hui comme auteur d’un premier opus à la hauteur de ses sets et de ses frasques sonores. Car quand Vitalic fait de la musique, c’est de frasque qu’il s’agit, des frasques impressionnantes. Des frasques de cowboy électro-tek qui dégaine plus vite que son ombre. Tellement vite que, parfois, il est le seul à pouvoir suivre ses propres mouvements. Si trop de bpm tuent parfois le bpm, Vitalic réussit le tour de force, d’en mettre plein la vue en demeurant constamment accrocheur. C’est peut-être aussi parce qu’il est capable, le temps d’un titre, de calmer le jeu, de faire tomber le rythme cardiaque, de faire preuve d’un peu de sagesse. Mais « Ok cowboy » est avant tout un disque de combat. Comme sur un ring, les coups pleuvent, parfois de façon spectaculaire, à d’autres de manières plus sombres, pas toujours très autorisées. Mais le Français s’en fou. Du moment qu’il sort vainqueur pas KO et même si c’est de manière pas très honnête, il gagne son pari. Et vainqueur par KO, il est à chaque écoute pour notre plus grand plaisir de technofan. |
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Extrait de l'album |
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Chroniques
des Internautes |
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David Le Croller : La légende veut qu’un certain Pascal Arbez se soit mis à la musique électronique en 1995 lors d’un concert des Daft Punk. Dix ans plus tard, les 3 hommes se croisent à nouveau. Pascal Arbez se nomme désormais Vitalic et sort son 1er album juste au moment où les Daft Punk accouchent dans la douleur d’un nouvel opus. Mais le relais semble être passé, désormais en haut de l’affiche, Vitalic nous livre ici un manifeste furieux et bouillonnant, le successeur mutant d’un Discovery que l’on n’attendait plus. S’il mêle des morceaux composés depuis longtemps (La rock 01, la série des Poney Part en 2001) à des compositions récentes, « Ok cowboy » garde pourtant une incroyable cohésion. Tissant sa toile dans un univers technoïde aux frontières mutantes, la musique de Vitalic est protéiforme. Planante et rêveuse (The Past, Trahison), elle peut à tout moment se révéler sauvage et rebelle (Poney Part 1 & 2). Si l’o s’étonnait encore que chacune des apparitions en DJ Set de l’homme en noir suscite des passions délirantes, ce disque magistral apporte la preuve que tout cela est amplement justifié. |
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