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Finally we are no one
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Producteur
: Non disponible |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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Premier disque décemment distribué du groupe Islandais Mum et comme souvent pour ceux qui viennent du froid, belle réussite. Avec leur post-pop électronique bizarre et sacrément tordue ("Don't be afraid,..."), atmosphérique et glacée, avec ces voix cousines à celle de Stina Nordenstam ("We have a map of the piano"), "Finally we are no one" est une plongée dans des eaux froides et profondes, un songe énigmatique, un amoncellement de magie élégante ("Now there's that fear again"). D'une grâce peu commune, d'un calme totalement apaisant ("Green grass of tunnel"), les morceaux de Mum, bien que souvent assez simples, volent très haut ("I can't feel my hand..."). D'une excellence foudroyante, "Finally we are no one" ravira tous ceux qui de la suédoise Stina Nordenstam à l'Islandaise Bjork ont un faible pour ces filles capables de nous transporter dans des univers bleutés à la beauté étrange ("K/half noise") qui se trouve bien au delà du système solaire ("The land between solar systems"), dans une galaxie indescriptible et merveilleuse à deux pas de l'étoile Sigur ros. Mum nous offre avec "Finally we are no one" un grand disque. |
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Extrait de l'album |
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